écris

bon alors, ici, vous mettez un peu ce que vous voulez, des textes que vous avez écris que vous aimez bien, des poèmes si vous voulez, enfin...ce que vous voulez koi!

L’obscurité est généreuse.
Son premier cadeau est quelle masque tout : votre vrai visage est dans le noir, sous votre peau, votre vrai cœur reste dans l’ombre, tout au fond. Mais ce que l’obscurité masque le plus, ce n’est pas votre vérité secrète ; c’est la vérité des autres.
L’obscurité vous protège de ce que vous ne voulez surtout pas connaître.
Son deuxième cadeau consiste à vous maintenir dans une illusion rassurante : c’est la douce étreinte du rêve dans l’abandon de la nuit, c’est la beauté que l’imagination donne à ce qui serait repoussant dans la lumière crue du plein jour. Mais le plus grand réconfort de l’obscurité est de vous faire croire qu’elle passera : que toute nuit amène un nouveau jour. Car, en réalité, c’est le jour qui est éphémère.
Le jour est une illusion.
Le troisième cadeau de l’obscurité est la lumière elle-même : comme les jours sont définis par les nuits qui les séparent, comme les étoiles sont définis par les ténèbre insondables dans lesquelles elles tournoient, l’obscurité renferme la lumière, et la ramène de ses propres abîmes.
A chaque victoire de la lumière, c’est l’obscurité qui gagne.


L’obscurité est généreuse, et elle est patiente.
C’est l’obscurité qui sème la cruauté dans le terreau de la justice, qui fait pleuvoir insidieusement le mépris dans la compassion, qui empoisonne l’amour avec les germes du doute.
L’obscurité peut se permettre d’être patiente, car la plus petite goutte de pluie fera germer les graines.
La pluie viendra et les graines germeront, puisque l’obscurité est le terreau dans lequel elles poussent, comme elle est dans les nuages au-dessus d’elles, et comme elle attend embusquée derrière le soleil qui leur donne sa lumière.
La patience de l’obscurité est infinie.
Avec le temps, même les étoiles finissent par s’éteindre.


L’obscurité est généreuse, et elle est patiente et elle gagne toujours.
Elle gagne toujours parce qu’elle est partout.
Elle habite le bois qui brûle dans l’âtre, et la bouilloire qui chante sur le feu, elle est sous votre chaise, sous votre table, et sous les draps de votre lit.
Marchez en plein soleil, à midi, et l’obscurité vous accompagne, attaché à la semelle de vos chaussures.
Et plus vive est la lumière, plus noire est l’ombre qu’elle projette.




L’obscurité est généreuse, elle est patiente, et elle gagne toujours, mais au cœur de sa force il y a de la faiblesse : il suffit d’une chandelle pour la tenir à distance.
L’amour est plus fort qu’une chandelle.
L’amour peut embraser les étoiles.


c'est un texte que j'aime beaucoup tirée de la version de star wars, la revenche des sith de matthew stover

J'ait beaucoup aimé le livre,et ces phrasesont belles...

alors, c'est autre chose, mais j'aime bien aussi.
ps: je l'ai entendu, je vais éssayé de vous le remettre, le plus fidèlement possible


c'est un homme de peau sombre qui parle à un homme de peau pale.

"Quand tu nais, tu es rouge. quand tu es malade, tu es vert. quand tu a froid, tu es bleu. quand tu es en colère, tu es rouge aussi.quand tu ne fais rien, tu es blanc.

Moi, quand je suis née, j'étais noir, quand je suis en colère, je suis noir, quand j'ai froid, je suis noir, quand je suis malade, je suis noir, quand je ne fais rien, je suis noir.
et c'est toi, homme blanc, qui ose m'appeler homme de couleur?"

Quand le vent souffle sur la plaine
Et gonfle nos coeurs
Et gonfle nos voiles
Je vole, audelà des flammes et des frontières
Dans les océeans, les réves et les étoiles
Je vole droit vers l'infini
Libre

çà, c'est un poème de victor hugo (je m'amuse je sais et alors?^^)

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la montagne,
Je partirai. Vois tu, je sais que tu m'attend.
J'irai par la foret, j'irais par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai, lesyeux fixé sur mes pensées,
Sans rien voir au-dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

et voila, j'ai pas pu résister...j'ai pas réussi à faire un poème "construit", je me suis laissé emporter...


Le soleil s’est caché
Une foule de nuage remplie le ciel
Nébuleuse aux teintes blanches et grises,
Cette brume nous recouvre
Comme on recouvre un enfant d’une couverture avant qu’il ne dorme


Une brise se lève. Douce
Elle fait chanter la forêt
Elle fait danser mes cheveux
Elle passe dans les herbes blondit par le soleil
Le terre semble se réveillé
Le vent passe et chasse la chaleur étouffante
Il apporte une douce odeur humide et boisée

La première larme du ciel glisse sur ma joue
Une deuxième tombe, suivi de ses semblables
Le monde est devenue eau
L’averse ravive les rivières asséchées
La giboulée chasse la poussière
L’ondé nourri les racines de la forêt
La pluie dessèche ma peau, emporte mes larmes, apaise mon cœur.

Mes poémes:
UN premier:


Arrivant,sous l'ombre des arbres
Mon esprit s'egares
Je repense a cette vie,l'air agare
De ceux completement paumer,
Etaler sur ce qui me sert de visage.

On me dits de tenir
De ne pas partir
De tenter de survivre
Mais je me laisse deperir
Glissant parmits les ombres.

Ce refrain sans fin
Qui depuits toujouts regits ma vie
Me laisse empreints d'une douce melancolie
Chaque jours il me suit
Me guide a travers la nuit.
Mais même la poésie
Même la pluie qui tombe
Ne peut confondre mes larmes,
Elle me brulent et s'ecoules sur l'asphaslte.

Enfin la pluies s'achéve,
Mais ma tristesse persiste,
Elle revient inlassablement
Pour me trainer loin des autres
Pour me trainer dans le desespoir.

Et je desespére sans fin
Que tant de choses vous indiféres.
J'essaye de comprendre pourquoi
Mais a quoi bon,même si je le savait
Je continueraits de pleurer.

Maintenant,tout passes,
Ma vie s'efface
Sous la pluie implacable
Qui me meurtrit,
Je n'est pas envies de lacher ma plume
Mais deja mes doigts se bloquent
Et l'inspiration me quittes.



Et un deuxiéme:

La poésie ne naît pas,
Elle nous enjoints a la rejoindre
A nous voir l'oindre,
Nous qui la chérissons des qu'on la voit,
Lui donnons la vie,
Mais pouvons lui retirer des que l'on se tait.
Elle succombe aux temps as tu jamais penser
A ces anciens poèmes délabrer qui chantait la vie
Au début des ans, a l'époques ou les gens ne se lavaient pas,
Ou la poésie nous guidait sur le droit chemin.a
Toi ma mie je te dédits ma vie,
Tu est ma reine emplissant mes jours de joie,
Empêchant mon âme d'errer sur une autre voie,
Me prenant par la main pour m'emmener au loin.

Et un troisiéme:

Toujours plus prés,
Toujours plus loin,
M'envolant sans fin,
Vers la canopée.

M'envoler dans le ciel,
Voyager dans les airs,
Me sentir des ailes
Dans la chair.

Planer parmis les oiseaux,
Voir les nuages
En moi et autour,dinstiguer
Cette Terre faits de libido.

Guider par les esprits,
Mon âme prends vie.
Parler auw cormorans
Et ne plus sentir les ans.

Partir pour ne plus revenir,
Partir pour ne plus souffrir,
Prendre mon envol,
Juste le temps d'un rire.

Être a tes côtés pour l'eternité,
Être prés de toi ô ma planéte
Sentir ton guider ma destinée.
Et ne plus être.

Juste avec toi,
Vivre sans vie,
Vivre dans la joie,
Vivre avec mon envie.

Un jour je m'envolerais,
Et je te retrouverais,
Toi gaia toujours intacts et belle
Malgré la folie qui les habites.

Te voir et sentir ta joie
Te voir et rester avec toi
Même ne serait-ce que pour une année,
être avec toi.


UN quatriéme:

Je rêve que ma vie s'achéves,
Que tout en ce monde disparaissent,
Une vie sans toi n'est plus qu'une ombre,
Un fragment d'inutilité parmis le reste.
Je voudrais tant que tu me reviennes,
Que tout ce qu'on s'est dits ne soient pas partit.
Je voudrait remonter le temps pour revoir
Tes yeux me regardant tendrement.
Je voudrais crever pour ne plus supporter
La perte de ma moitié.
Tant de moi et maitenant si peu de moi,
Tant de je voudrais et si peu de temps,
Pour t"ouvrir mon coeur et plonger dans les trefonds de mon âme.
Si j'ait fait quoique ce soit qui te deplait,
Dits le moi et je ferais tout pour être pardonner.^
Je voudrais encore une fois,
Remonter le temps revenir a cettes douce semaine,
Te serrait dans tes mes bras et t'embrassait,
Te serrait contre moi sans te relacher.
Pour qu'enfin tu comprennes que les sentiments
Qui de joie et de peur emplissent mon coeurs
Ne sont pas le reflet d'un soleil d'été.
Je voudrais tant qu'un sourire eclaire tes lévres,
Sentir passer ton souffle sur mon visage
Et voir le bonheur s'eclairer sur le tien,
L'amour dans tes yeux et mon bonheur entre tes mains.
Je voudrais inventer des mots pour te dire ce que je ressent,
Je ne veux et ne peut t'oublier,
Car juste l'ombre d'un de tes sourires
Me remplit d'emoi emplissant
Chaque cellule de mon corps de joie.
L'encre de ma plume s'ecoule sur le papier
Et les vers en decoulent,
Je t'ecrits car comme avant ma voix s'est tarit
Et je ne peux m'exprimer qu'as l'ecrits,
Car s'est la qu'ils me semblent
Les mots prennent tout leurs sens,
Et s'envolent dans les cieux
Comme doués de vie.


Vila,les autre je les aient pas taper....

j'aime bien tes poemes yakara

je vais vous mettres mes autres que j'ai fait


silence
pesant , lourd de tristesse et d'émotion
l'horloge fait son tic tac régulier
la maison craque, gling et fait ses milles bruits de la nuit

silnece
immobile et pourtant agité de millions de pensées
le vent souffle au dehors, ajoutant son chant aux cents bruits de la nuit

silence
épais, frois ou l'âme se perd plus surement que dans un labyrinte

un bruit, à peine audible vint rompre l'harmonie de ce silence aux milles sons
à peine plus fort qu'une respiration

silence
oppaque mais appaisant qui aspire les pensées et les rend aux esprits
appaisées et tristes

silence ou la larme qui roule sur une joue se perd en une poussière d'étoile



et un deuxième:

Le vent a soufflé sur les voiles de mon coeur
Il a chassé mes craintes, repoussé mes peurs
Il me pousse en avant, m'entraine vers l'infini.

Je ferme les yeux et laisse ta voix entrer en moi
Elle pénetre ma chair et résonne dans mon coeur.

Le vent a soufflé ma tristesse, tu en a comblé la faille
Reflet de l'espoir qui rejailli en moi,
Le soleil se lève, éclaboussant la terre de ses rayons.



celui là, je l'ai fait à l'arrache^^

merci
moi j'aime bien les tiens...

Moi je sui en train decrire un =e histoir kan je laurai fini je publierai le chapitre1

ola, moi aussi j'ai commencé. j'ai le premier chapitre, et le dernier^^

alors moi aussi je vais me mettre a ecrire des poemes

C'est cool tout a l'ecriture^^

...

J'aime toujours tes reponse toujours autant rechercher^^

c'est bien d'écrire. çà permet de faire sortir certaines choses de nous même...

Oui sa me permets de sortir de mon coma deprimatoire generalement

CAMA et ses "..." sont partou

pareil, yakara : l'écriture est une des seules choses capables de me dé-déprimer... et moi, quand je suis déprimée, c'est vraiment la GROSSE déprime...

cela dit il est rare que je "finisse" mes poèmes. généralement je m'arrête sans en avoir tiré tout ce que je pouvais...

sinon, fais les moins long peut etre... pour ma part, je choisis un thème, je vais sur word et je tire tout les synonimes des mots clé de mon thème, je prend une feuille, un crayon, et j'écris... sans me soucier des rimes, du rytme, rien!! je suis un peu bordélique de nature alors pour faire quelque chose de structurer...

*sourit*
Louwilan:
*Si tu essayais de juste jetais les mots qui viennent (bon tu doit deja le faire je pense...)et de ne pas te soucier de se qui vient,normalement sa viendras tout seul,les rimes,les metaphores et tout le reste,si tu n'arrives pas a finir alors essaye d'en commencer un autre...*

C'est juste que, quand tu a de l'inspiration, tu te jete sur word et sa va tout seule.

Prefere les feuilles pour ecrire...

Bof, perso, je suis beaucoup plus a l'aise sur mon ordi, maintenant, peut-être pas toi.